Les fragments d’un destin mort
Le 10 janvier 2120, la station antarctique demeurait plongée dans un tranquilité oppressant. Les lois de sécurité, de manière générale stricts, avaient subsisté désactivés pour accélérer l’analyse du calme. Tous les relevés affichaient des dosages normaux, zéro panne, aucun glaçon sur les circuits, zéro perturbation électromagné